Brigade Trad

 

Première cohorte – 2021

 

 

Cette formation permet à 8 danseuses et danseurs de troupes de folklore québécois de s’initier à la large étendue des possibilités que permet la création en gigue et d’aborder le rôle de l’interprète-créateur dans l’élaboration d’un projet artistique. L’ensemble de la brigade sera amenée à explorer et créer, en équipes, un projet autour de la gigue épaulé par un mentor.

 

BIGICO remercie le Conseil des Arts de Montréal de son soutien dans le cadre du programme spécial.

CRÉATION

Eveiller à la création en gigue des danseurs et des danseuses provenant de troupes de folklore.

CONSOLIDATION

Bâtir des ponts avec le milieu folkorique et la pratique plus traditionnelle de la gigue.

PROSPECTION

Favoriser l’émergence de divers talents en vue de déployer la relève en gigue contemporaine.

Marie-Andrée Brière

Danseuse folklorique depuis l’âge de 3 ans, Marie-Andrée a découvert dans la danse traditionnelle québécoise et internationale une façon de voyager, de rencontrer l’autre, de faire honneur à d’où on vient et de vivre une expérience de groupe. Enseignante depuis 2013 aux jeunes enfants, puis aux groupes de la relève et de la troupe de spectacle, elle cherche à transmettre cette passion et à faire découvrir la beauté du folklore à ses élèves. Toujours avide de connaissances et de perfectionnement, mais aussi désireuse de faire connaître cette forme de danse, Marie-Andrée recherche toujours la façon d’ouvrir ses portes et celles de son entourage à la danse folklorique.

Crédit - Celina Fenandez-Branco
Marie-Andrée Brière

Naomie Côté

Naomie Côté a commencé son parcours dans le monde de la danse traditionnelle en 2012 à l’âge d’environ douze ans au sein de l’ensemble folklorique Mackinaw à Drummondville. Passionnée par cet art, elle voulut le pratiquer sur une base plus fréquente, ce qui l’emmena à se joindre à d’autres troupes de danse folklorique au Québec, soit Les Chamaniers de Saint-Hyacinthe (2016-2019) ainsi que Les Bons Diables de Laval (2018-2019). Elle y a également enseigné à des groupes de tous âges. En 2017, elle commence un DEC en danse au cégep de Drummondville et y gradue au printemps 2020. Pour poursuivre sur cette voie, elle en est à sa première année au BAC en enseignement de la danse à l’UQAM et est sur le point de terminer une AEC en enseignement de la danse. À ce jour, elle enseigne toujours chez Mackinaw et y est également interprète pour la compagnie.

Naomie Côté - Crédit : Marylou Beaulieu
Naomie Côté

Lydia Hébert-Doucet

Ayant goûté au monde de la scène depuis l’âge de quatre ans, Lydia s’est épanouie dans la danse traditionnelle québécoise au sein de l’ensemble folklorique Les Bons Diables. Elle a plus tard pris goût à l’univers des arts sous toutes ses formes, la faisant voyager entre la musique, la danse et les arts visuels en général pour les expérimenter dans leur unité.

Crédit - Justine Charland
Lydia Hébert-Doucet

Rosalie Goulet

Âgée de 17 ans, Rosalie gigue dans l’ensemble folklorique La Foulée depuis près de 10 ans. Au fil des années, elle a eu la chance d’avoir plusieurs professeurs dont Martine Billette et Pierre Chartrand. Elle adore apprendre et croit que la Brigade Trad est une très belle opportunité de découvrir différents styles de gigue.

Rosalie Goulet

Justine Legault

Amoureuse de toutes les formes d’arts, Justine commence son parcours artistique en musique, à l’âge de 5 ans. Ce n’est que quelques années plus tard qu’elle découvre la danse traditionnelle grâce à l’ensemble folklorique Les Bons Diables et s’y implique en tant que danseuse, mais également comme professeure et animatrice. Le folklore lui a permis de participer à de nombreux festivals internationaux et de découvrir les danses folkloriques de différentes région du monde.

Crédit - Antoine Duguay
Justine Legault

Laurence Proulx

C’est à l’âge de 6 ans que Laurence débute son parcours de danse au sein de l’Ensemble folklorique Les Bons Diables. Elle pratiquera parallèlement le violon classique pendant 9 années consécutives grâce au programme Arts-études en musique. Son attachement à la danse et à la transmission du folklore québécois l’a mené à agir en tant que professeure de danses folkloriques auprès des enfants de niveaux préscolaire et primaire. Laurence a à coeur la pérennité de la gigue québécoise et, par conséquent, s’implique dans différents projets afin d’encourager le milieu.

Crédit - Timothy Baldacchino
Laurence Proulx

Marc-Antoine Roux

Depuis un très jeune âge, Marc-Antoine a eu la chance d’être immergé dans le monde du folklore en faisant partie d’événements comme le Mondial des Cultures de Drummondville ou en s’impliquant dans des troupes comme l’ensemble folklorique Mackinaw, Les chamaniers de Saint-Hyacinthe et, tout nouvellement, la troupe hongroise Bokréta. Cette passion de la scène s’est imposée dans sa vie professionnelle, lui qui évolue maintenant, entre autres, comme scénographe. Son esprit créatif s’inspire du passé pour créer les œuvres de demain. Pour lui, chaque opportunité de diffuser les arts traditionnels est essentielle pour la reconnaissance de ceux-ci.

Crédit - Jean-Sébastien Langlois
Marc-Antoine Roux

David Tessier

Initié dès son jeune âge aux arts traditionnels par l’école de danse Les Pieds Légers de Laval, David y a acquis la majorité de sa formation en gigue et en danse traditionnelle. Ce qui était à la base un loisir s’est rapidement transformé en passion, et David a ensuite rejoint le groupe La R’voyure où il contribue activement à divers projets. Bien qu’il agisse plus souvent qu’autrement en tant qu’interprète, il est prêt à pousser plus loin son implication dans le milieu trad.

Pas de crédit
David Tessier