Gigue partout – Saison 1

Campagne de valorisation de la pratique de la gigue

 

Des capsules vidéos à visionner

Sur les photos du diaporama : Vincent Dubé, Mélina Mauger-Lavigne, Rosemarie Caya-Tessier et Gabriel Vincent Beaudoin.

VALORISATION

Mise de l’avant de la pratique de la gigue de toute nature, de toute provenance.

CONSOLIDATION

Bâtir des ponts avec le milieu folkorique et la pratique plus traditionnelle de la gigue.

PROSPECTION

Favoriser l’émergence de divers talents en vue de déployer la relève en gigue contemporaine.

Binôme 1

Mélina Mauger-Lavigne

Initiée dès son jeune âge aux arts traditionnels québécois par les Pieds Légers de Laval, Mélina débute d'abord comme danseuse, pour ensuite lorsqu'elle est jeune adulte, occuper les rôles de professeure (2009 - 2014) et de directrice artistique de l'ensemble (2014 - 2017). Son intérêt développé pour la gigue l'amène ensuite à participer à plusieurs projets tels que la Chasse-Balcon (2017-2020), les matchs d'improvisation giguée de la Bigico (2018-2019) et la création Chorus de Jonathan C.Rousseau (2019). De plus, lors d'un séjour en France en 2019, elle débuta la pratique du câll et l'animation de veillées de danse québécoises avec le groupe la Veillée.

Actuellement, elle poursuit son travail avec Germaine, un groupe de gigue et de chansons traditionnelles québécoises qui met de l'avant des thématiques féminines et féministes. Elle est aussi membre de la R'voyure, à titre d'interprète et occasionnellement de chorégraphe. Elle continue de s'impliquer dans ces projets pour poursuivre sa pratique et réfléchir sur la place des arts traditionnels. (Crédit photo : Vanessa Fortin)


Jonathan C. Rousseau

Jonathan C. Rousseau est un artiste danseur, enseignant et chorégraphe qui oeuvre dans le milieu de la danse traditionnelle et de la gigue contemporaine. Après une formation au sein de l’ensemble folklorique Mackinaw à Drummondville, Jonathan évolue dans l’organisme jusqu’à en prendre la direction artistique en 2013. Parallèlement, il co-fonde la compagnie La R’voyure en 2011 dans laquelle il peaufine et redéfinit sa vision des arts traditionnels encore aujourd’hui. 

Curieux, il ouvre ses horizons depuis une dizaine d’années en prenant part à plusieurs projets de gigue contemporaine comme interprète (Zeugma, Les Archipels, Nancy Gloutnez, Isabelle Boulanger) et comme chorégraphe. Parallèlement, il co-organise des événements rassembleurs autour de la gigue et du flamenco en partenariat avec Sarah Bronsard et l’organisme Bigico. Avant tout amoureux de la gigue et de tout ce qu’elle peut évoquer, il s’intéresse particulièrement au développement de techniques d’improvisation.

Mélina Mauger-Lavigne - Crédit photo : Vanessa Fortin

Mélina Mauger-Lavigne

Jonathan C. Rousseau - Crédit photo : Valérie Sangin

Jonathan C. Rousseau

Binôme 2

Gabriel Vincent Beaudoin

Violoniste, chanteur et gigueur, Gabriel a amorcé son parcours en musique à l'âge de 11 ans. C'est avec le violon classique qu'il fait ses premiers pas tout en cultivant une passion grandissante pour le terroir musical du Québec et d'ailleurs. Grâce à 7 années de musique au Village québécois d'antan, de multiples formations, voyages et expériences, il a développé son savoir-faire. Aujourd'hui, il est bien impliqué, notamment comme enseignant en violon traditionnel, ainsi que comme musicien pour les troupes de danses Les Chamaniers et Mackinaw.


Charles Émond

Charles Émond complète actuellement un baccalauréat en cinéma à l'Université de Montréal. Il a rejoint la compagnie de danse Mackinaw en 2006 et y a performé en tant qu'interprète jusqu'en 2021. Bien que sa pratique artistique soit grandement orientée vers les arts médiatiques, les arts traditionnels québécois occupent une grande place dans sa vie et ont une influence majeure sur son travail.

Gabriel Vincent Beaudoin - Crédit photo : Jean-Sébastien Langlois

Gabriel Vincent Beaudoin

Charles Émond - Crédit photo : Jean-Sébastien Langlois

Charles Émond

Binôme 3

Rosemarie Caya-Tessier

Dès l'âge de 7 ans, Rosemarie commence son parcours au sein de l'ensemble folklorique Mackinaw où elle s'y impliquera jusqu'à l'âge de 25 ans (2002-2020). Mackinaw lui offrira une solide formation en tant qu'interprète de la danse traditionnelle et lui ouvrira également les voies de l'enseignement de la danse, de la création ainsi qu'un intérêt pour la culture internationale. Elle dansa d'ailleurs pendant deux ans dans l'ensemble folklorique hongrois Bokréta de Montréal (2014-2016). Avec son DES  en concentration danse et son DEC en danse au cégep de Drummondville, Rosemarie approfondie ses fondements en ballet, en jazz, en moderne et en création. Son BAC en enseignement de l'éducation physique est un atout supplémentaire à l'enseignement de la danse et à la compréhension du mouvement. Rosemarie est, depuis 2017, directrice artistique des Chamaniers de Saint-Hyacinthe où elle met à contribution l'ensemble de ses connaissances pour voir s'élever une nouvelle génération d'interprètes de la danse traditionnelle.


Vincent Dubé

Œuvrant depuis 2007 au sein de l'Ensemble folklorique Mackinaw de Drummondville, Vincent Dubé maintient son implication dans les projets créatifs qui l'entourent afin d'assouvir sa curiosité culturelle et artistique.    

Maintenant étudiant au baccalauréat en design de l'environnement à l'UQàM, il continue d'approfondir ses connaissances sur la relation entre l'être humain et l'environnement matériel et naturel qui l'entoure. Le corps, par ses mouvements et ses subtilités, est au cœur de sa démarche générale.

Rosemarie Caya-Tessier - Crédit photo : Vincent Dubé

Rosemarie Caya-Tessier

Vincent Dubé - Crédit photo : Jean-Sébastien Langlois

Vincent Dubé

Binôme 4

Rachel Carignan

Issue du milieu de la danse traditionnelle, Rachel Carignan s’implique d’abord comme élève puis, depuis 2019, comme spécialiste au sein de l’Ensemble folklorique Mackinaw. Elle termine en 2015 un DEC en danse au Cégep de Drummondville. Elle complète en 2019 un BAC en enseignement de la danse à l’Université du Québec à Montréal. Elle complète également un AEC en nouvelles stratégies d’intervention en danse à l’été 2020 au Cégep de Drummondville.

Depuis 2016, elle s’implique comme interprète et chorégraphe au sein du différents projets, plusieurs portés par l’organisme BIGICO. Elle rejoint également en 2017 La R’voyure, un organisme qui se spécialise dans le ludisme des codes de la danse traditionnelle québécoises. En 2021, elle est engagée comme interprète pour la compagnie de danse [ZEUGMA] qui se produit à l'aide d'un amalgame dynamique de gigue québécoise, de percussion corporelle et de mouvement contemporain.

La gigue, la danse traditionnelle et le mouvement contemporain se retrouvent au cœur des intérêts et des projets de cette artiste et enseignante.


Charles Labrèche

C'est en 2008 qu'il rejoint l'Ensemble folklorique Mackinaw de Drummondville. Il y évolue encore à titre d'interprète aujourd'hui. Il participe également au Projet trad La R'voyure en 2018 et en 2019. Il participe également au OFF BIGICO en 2017 à titre d'interprète dans le projet chorégraphique de Sébastien Chalumeau.

Ayant pratiqué le piano classique sur une période de dix ans (2006-2016), il accumule une certaine connaissance en musique classique. Or, c'est en 2018, grâce à son emploi d'été au Village québécois d'antan de Drummondville, qu'il commence à apprendre le violon traditionnel, la mandoline et la mandoline octave, sans toutefois laisser le piano de côté.

Étudiant actuellement au Baccalauréat intégré en sciences historiques et études patrimoniales (BISHEP) à l'Université Laval, il s'intéresse activement au patrimoine vivant et aux arts traditionnels.

Rachel Carignan - Crédit photo : Vanessa Fortin

Rachel Carignan

Charles Labrèche - Crédit photo : Camille Labrèche

Charles Labrèche

Binôme 5

Maxandre Fortier

Maxandre Fortier débute dans le milieu de la gigue à six ans quand il intègre l'école de danse de l'Ensemble folklorique les Bons Diables. Près de 20 ans plus tard, il continue de danser au sein de ce même Ensemble, au sein duquel il réalise nombre de spectacles et de tournées internationales. Celles-ci seront pour lui l'occasion de tisser des liens durables avec des danseurs de partout à travers le monde. Son intérêt pour la valorisation du folklore québécois l'amène à s'impliquer davantage auprès des Bons Diables, dont il est l'actuel vice-président. Grâce à sa présence, son énergie et à un style qui lui appartient, Maxandre a eu l'occasion de participer, comme interprète, à des projets comme l'émission Le Broco-Show à la télé de Radio-Canada ou au spectacle La grande veillée, présentée dans le cadre du Festival Juste pour rire.


Eva Dortelus

Plongée dans le monde traditionnel québécois depuis plus de 15 ans grâce à l'ensemble folklorique Les Bons Diables, Eva est une amoureuse de la gigue québécoise. Ayant fait une courte apparition dans l'émission télévisée Révolution en plus d'être enseignante et danseuse, elle réussit à transmettre sa passion aux autres. Pour le moment, elle se concentre sur sa tâche d'enseignement avec son ensemble folklorique, mais est toujours prête pour de nouveaux défis!

Maxandre Fortier - Crédit photo : Vitor Munhoz

Maxandre Fortier

Eva Dortelus - Crédit photo : Bonnalie Brodeur

Eva Dortelus

Binôme 6

Louis Roy

Issu du milieu de la danse traditionnelle, Louis Roy a consacré plus de 17 ans à danser pour les ensembles traditionnels Les Chamaniers et Mackinaw.

En 2018, il s'établit dans la ville de Montréal pour accomplir un baccalauréat en interprétation de la danse à l'Université du Québec à Montréal.

Dans la même année, il se joint au groupe La R'voyure qui se spécialise dans le ludisme des codes de la danse traditionnelle québécoise. Animé par des remises en question envers sa pratique et par un souci de vouloir perpétuer un patrimoine vivant ancré et innovant, il y sis une place de choix au cœur du groupe.

Depuis 2019, il est interprète pour la compagnie de danse [ZØGMA] qui se produit à l'aide d'un amalgame dynamique de gigue québécoise, de percussion corporelle et de mouvement contemporain.


Stéphanie Boulay

Passionnée de danse depuis ses premiers pas, Stéphanie découvre la gigue au sein de l’Ensemble folklorique Les Bons Diables en 2005. Elle est également formée à l’École supérieure de ballet du Québec, au gep de Sherbrooke (DEC en danse) et au Département de danse de l’UQAM (baccalauréat en enseignement de la danse). Au fil des années, elle est interprète avec Zeugma Danse, Sonore Dés_Accord du chorégraphe Benjamin Hatcher, et divers autres projets touchant la gigue et/ou la danse contemporaine. Artiste touche-à-tout, Stéphanie enseigne, crée, et performe dans plusieurs styles de danse, ce qui lui apporte une vision globale de son art, de la culture, et de la beauté sous toutes ses formes.

Louis Roy - Crédit photo : Romain Lorraine

Louis Roy

Stéphanie Boulay - Crédit photo : Christine Heyraud

Stéphanie Boulay

Binôme 7

Louis Gloutnez

Louis Gloutnez a fait ses premiers frottés-simples aux éclusiers de Lachine où il a dansé un quart de siècle. Gigueur, danseur, percussionniste, il danse en 2003 dans le Fuxiclub et ensuite dans le projet de La Grande Visite. Il participe à de nombreux projets chorégraphiques de BIGICO depuis 2006, dont Débile Métal de Nancy Gloutnez en 2014.


Élisabeth Moquin

Violoneuse et gigueuse pour les groupes de musique traditionnelle É.T.É et SAMEDI, Élisabeth Moquin est tout simplement une passionnée des arts du patrimoine vivant québécois. Diplômée en musique traditionnelle au CÉGEP de Joliette et dotée d'un grand bagage en gigue et danses québécoises, c'est avec grand intérêt qu'elle poursuit ses apprentissages en suivant diverses formations complémentaires. C'est grâce au travail d'animatrice de rues au Village Québécois d'Antan qu'elle développe ses aptitudes en communications, en animation et en improvisation de gigue. Au cours de la technique en musique, elle acquiert les outils et les compétences pour faire de la collecte et de la recherche d'archives. Avec sa curiosité, sa fougue, son travail acharné et sa volonté d'apprendre et de transmettre, Élisabeth devient une référence pour ses pairs et le réseau traditionnel.

Louis Gloutnez

Louis Gloutnez

Élisabeth Moquin - Crédit photo : Élisabeth Giroux

Élisabeth Moquin

Binôme 8

Antoine Turmine

Issu du milieu des danses traditionnelles et folkloriques, Antoine Turmine se définit comme un artiste en danse investit dans une démarche créative où le rythme, le son et le corps en mouvement sont à l'avant-plan. Titulaire d'un baccalauréat en danse contemporaine de l'UQAM et d'une maîtrise en danse, il vise à faire de sa pratique un véritable laboratoire et cherche ainsi les dispositifs et les contextes qui transforment et repoussent ses manières de danser.

Antoine Turmine est présent au sein des activités de BIGICO à la fois comme interprète et comme créateur. Ses propositions se situent à la frontière d'œuvres conceptuelles et de performances sensibles.


Sarah Bronsard

Sarah Bronsard est une chorégraphe basée à Tiohtià:ke/Montréal. Elle trouve son terrain le plus fertile dans la danse flamenco et sur la scène de la danse contemporaine après un parcours artistique multidisciplinaire, incluant musique, verre soufflé, arts numériques et une carrière de peintre. Ses projets - soutenus par le Conseil des Arts du Canada (CAC) et le Conseil des Arts et des Lettres du Québec (CALQ) - ont été présentés au Québec (Tangente, Société des Arts Technologiques), en Europe (France, Pays de Galles, Italie, Pays-Bas), en Afrique (Maroc) et en Asie (Japon). Son travail a reçu le prix "Meilleure création originale" du Cirque du Soleil (Fringe, 2012), le prix Pierre Lapointe (UQAM, 2016 et 2017) et le prix David-Kilburn (UQAM, 2020). En 2020, elle travaille au TOKAS (Japon), grâce au soutien du CALQ, pour initier Bruissement de mousses, un projet qui s'intéresse à la perception des mousses (bryophytes) dans la spiritualité et l'esthétique japonaise. En 2021, elle fait une tournée au Québec avec la pièce Èbe, et cette pièce est choisie par le CALQ pour représenter le Québec en spectacle d'ouverture du Festival International d'Art Vidéo de Casablanca (Maroc) à la fin 2021. Elle travaille présentement sur la pièce L'écho des racines, une chorégraphie élaborée à la rencontre du flamenco et de la gigue québécoise en compagnie d'une dizaine d'artistes musiciens et danseurs, ainsi que Les Rigoles, une co-création avec la chanteuse Alexandra Templier autour du phénomène du rire.

En plus de sa pratique chorégraphique, elle a été interprète pour Aurélie Pedron, Audrey Gaussiran et  [ZØGMA] et en 2020 elle a complété un mémoire de maîtrise en recherche-création au Département de danse de l'UQAM autour des enjeux de l'intercorporéité entre la danse et la musique.

Antoine Turmine - Crédit : Marie-Ève Dion

Antoine Turmine

Sarah Bronsard - Crédit photo : Anne-Marie Baribeau

Sarah Bronsard

Binôme 9

Rose-Lilas Bastien-Turgeon

Rose-Lilas s'initie à la danse traditionnelle en 2007 par l'entremise des Chamaniers de Saint-Hyacinthe. Après avoir participé à deux tournées à l'international, puis enseigné à différents groupes d'âge, elle siège sur le conseil d'administration depuis 2019. Son passage parmi la troupe de théâtre La Caravane de 2012 à 2018 marque également son parcours.

Diplômée de Gestion et techniques de scène en 2019, elle étudie présentement en management à l'Université Laval. Passionnée par la culture au sens large, elle n'est jamais bien loin des planches !


Naomie Côté

Naomie Côté a commencé son parcours dans le monde de la danse traditionnelle en 2012 à l'âge d'environ douze ans  au sein de l'ensemble folklorique Mackinaw à Drummondville. Passionnée par cet art, elle voulut le pratiquer sur une base plus fréquente, ce qui l'emmena à se joindre à d'autres troupes de danse folklorique au Québec, soit Les Chamaniers de Saint-Hyacinthe (2016-2019) ainsi que Les Bons Diables de Laval (2018-2019). Elle y a également enseigné à des groupes de tous âges. En 2017, elle commence un DEC en danse au cégep de Drummondville et y gradue au printemps 2020. Pour poursuivre sur cette voie, elle en est à sa première année au BAC en enseignement de la danse à l'UQAM et est sur le point de terminer une AEC en enseignement de la danse. à ce jour, elle enseigne toujours chez Mackinaw et y est également interprète pour la compagnie.

Rose-Lilas Bastien-Turgeon - Crédit photo : Alexandre Paquette

Rose-Lilas Bastien-Turgeon

Naomie Côté - Crédit photo : Marylou Beaulieu

Naomie Côté

Binôme 10

Louis Roy

Issu du milieu de la danse traditionnelle, Louis Roy a consacré plus de 17 ans à danser pour les ensembles traditionnels Les Chamaniers et Mackinaw.

En 2018, il s'établit dans la ville de Montréal pour accomplir un baccalauréat en interprétation de la danse à l'Université du Québec à Montréal.

Dans la même année, il se joint au groupe La R'voyure qui se spécialise dans le ludisme des codes de la danse traditionnelle québécoise. Animé par des remises en question envers sa pratique et par un souci de vouloir perpétuer un patrimoine vivant ancré et innovant, il y sis une place de choix au cœur du groupe.

Depuis 2019, il est interprète pour la compagnie de danse [ZØGMA] qui se produit à l'aide d'un amalgame dynamique de gigue québécoise, de percussion corporelle et de mouvement contemporain.


Ève Tessier

Passionnée de la danse traditionnelle depuis l'âge de 7 ans, Ève sait éveiller le plaisir de la danse chez les gens. Elle sait partager ses connaissances et son amour de la danse traditionnelle québécoise. Ève a grandi au sein de l'ensemble folklorique Mackinaw de Drummondville, elle fait partie de l'équipe de Tradansa et elle est membre de La R'voyure. Rien n'arrête ève dans sa volonté de s'outiller pour mieux transmettre sa passion. L'aspect pédagogique de l'enseignement est un sujet qui lui tient à cœur et cherche toujours à améliorer la transmission de la danse.

Louis Roy - Crédit photo : Romain Lorraine

Louis Roy

Ève Tessier - Crédit : Michel Beauchamp

Ève Tessier

Binôme 11

Sandrine Martel-Laferrière

Amoureuse à la fois de l'énergie des danses folkloriques et de l'aspect physique, fougueux et viscéral de la danse contemporaine, Sandrine Martel-Laferrière se promène entre ces deux mondes... et parfois même elle les allie! C'est pendant ses études en ballet à l'École Pierre-Laporte qu'elle découvre cet amour partagé. Désireuse d'en apprendre davantage sur ces deux genres de danse, elle complète deux formations d'apprentie en danses folkloriques et percussives (avec Les Sortilèges danse du monde et ZEUGMA, le collectif de folklore urbain) et se forme en danse contemporaine à l'UQAM, à la Ailey School (École d'Alvin Ailey, New York) et grâce à divers cours et stages donnés à Montréal, à New York et en Europe. On a donc pu la voir danser autant dans des compagnies de danses folkloriques (Les Sortilèges et ZEUGMA) que pour des chorégraphes de danse contemporaine (dont Manon Oligny et Benjamin Hatcher).

Alliant fréquemment ces deux pratiques, elle collabore depuis 2009 avec de nombreux artistes de BIGICO (diffuseur spécialisé en gigue contemporaine) à titre d'interprète mais aussi de chorégraphe. Elle s'intéresse particulièrement à la qualité de mouvement, aux dynamismes et aux diverses énergies avec lesquelles nous travaillons comme danseurs. Soucieuse de multiplier ses possibilités gestuelles, elle complète en 2016 des études de maîtrise en interprétation à l'UQAM dans lesquelles elle travaille avec le cadre Laban et plus spécifiquement avec les notions reliées à l'Effort-Shape. À travers sa danse et ses chorégraphies, elle souhaite désormais nous offrir une danse à la fois physique et sensible laissant entrevoir la charge émotive qui se cache derrière un corps performant et athlétique.


Sébastien Chalumeau

Sensibilisé très jeune aux musiques et danses internationales, Sébastien poursuit sa route au Québec en 2010 où il se plaît à garder un pied dans le réseau du patrimoine vivant et l'autre dans le paysage de la danse où il est interprète pour diverses compagnies et chorégraphes. à travers les éditions du OFF BIGICO, il a présenté trois créations chorégraphiques.

Sandrine Martel-Laferrière - Crédit photo : Mathieu Bibeau-Leblanc

Sandrine Martel-Laferrière

Sébastien Chalumeau - Crédit photo : Anne-Marie Baribeau

Sébastien Chalumeau

Réalisation vidéo

Olivier Arseneault

Après l’obtention de son baccalauréat en architecture en 2007, Olivier opte pour une carrière dans le domaine de la danse. Fort d’une formation diversifiée, allant de la danse folklorique au ballet classique en passant par le tango et la capoeira, il se démarque par son apport très physique, voire acrobatique, ainsi qu’une sensibilité particulière au travail de partenaire et à la danse percussive. Chorégraphe au sein du mouvement de la gigue contemporaine, il a présenté au 3e OFF BIGICO en 2019 : Redevenir. Parallèlement, il travaille devant et derrière la caméra sur de nombreux projets artistiques (dont la série La Gigue Partout de Bigico!).

Olivier Arseneault - Crédit photo : Anne-Marie Baribeau

Olivier Arseneault

117

Capsules

11

Binômes

21

Artistes

66

Lieux